Gluten
Julien Venesson
Note – chaque page de ce type est organisée de la manière suivante :
une photo que tu peux partager sur Pinterest, une citation importante du livre, un avis personnel, les 5 idées principales que j’ai choisi de partager, et enfin la possibilité de télécharger la Morning Note en fiche PDF.
« En lisant « comment le blé nous intoxique ? » sur la couverture de ce livre, vous pourriez être tenté de vous dire : « encore un livre à sensation, des balivernes ou du charlatanisme. » C’est ce que j’aurais également pensé. Mais aussi surprenant que cela vous puisse paraître, vous allez voir qu’il n’en est rien. Ce livre se veut dans la ligne droite de mon travail habituel : scientifique, rigoureux, et au service de la santé. Il s’appuie sur un grand nombre de références scientifiques et médicales, des travaux menés par des chercheurs à travers le monde entier et publiés dans des périodiques médicaux reconnus.
En enquêtant, je suis allé de surprise en surprise, à un point qui dépasse l’entendement. Qui eût cru, que certaines céréales, et en particulier le blé, avaient une face cachée aussi sombre ? Qui eût cru qu’un aliment consommé aussi couramment que le blé était plus proche d’un OGM expérimental que d’une plante sauvage ? » Julien Venesson.
5 idées du livre💡
Idée n°1 – Le gluten du docteur Frankenblé
Le gluten est une protéine que l’on retrouve dans certaines céréales, comme le blé, l’orge, le seigle ou l’épeautre. Il est responsable, par exemple, de l’élasticité d’une pâte malaxée. Les variétés de blé que nous consommons aujourd’hui ne sont pas naturelles : elles ont été génétiquement manipulées pour répondre, entre autres, à des problématiques de rendement et d’adaptabilité. Ce blé « moderne » (OGM) est beaucoup plus riche en gluten (environ 80% des protéines) que le blé ancestral. Ces nombreuses mutations ne sont pas anodines pour notre santé. Aujourd’hui, jusqu’à une personne sur trois serait sensible à la protéine de gluten sans le savoir. Plus grave encore, chez des personnes prédisposées, il fait office de détonateur de maladies auto-immunes.
Idée n°2 – La gliadine, protéine indigérable
Lors du processus de digestion, plusieurs enzymes sont chargées, à différents niveaux, de découper nos protéines. Dans l’estomac, la pepsine (présente dans les sucs digestifs) les découpent en peptides (toutes petites protéines). Ensuite, la protéase (produite par le pancréas) les re-découpent en petits morceaux digestibles. Dans l’intestin, ces derniers sont absorbés dans le sang en direction du foie. Or, la gliadine, une des protéines du blé, va résister à toutes ces découpes « et sera absorbée telle quelle. Le passage de cette protéine non digérée à travers la paroi de l’intestin grêle est anormale. Dans certains cas, les conséquences sur la santé sont mineures. Dans d’autres, elles seront dramatiques. »
Idée n°3 – Allergie, perméabilité intestinale et zonuline
La perméabilité intestinale (qui joue un rôle clé dans le développement de l’allergie alimentaire) dépend de nombreux facteurs. « Elle est notamment régulée par une protéine, la zonuline, que l’on peut considérer comme une hormone. » Tous les facteurs influant sur la zonuline ne sont pas encore déterminés aujourd’hui, mais l’alimentation semble être la plus importante. Les études menées « ont abouti à la conclusion que l’aliment qui provoquait la plus forte production de zonuline est le blé moderne », chez les personnes atteintes de maladie cœliaque ou non, et ce quelque soit la sensibilité génétique. Si tu as une quelconque allergie alimentaire, envisager de réduire (voir supprimer) le gluten pendant plusieurs semaines pourrait être une bien sage décision !
Idée n°4 – Le blé, opium du peuple
La digestion de prolamines (gluten) entraîne une production d’exorphine. Cette hormone, proche de l’endorphine, peut atteindre le cerveau en cas de perméabilité intestinale élevée. « Le blé agit donc à la manière d’un cheval de Troie : il augmente la perméabilité intestinale en sollicitant la production de zonuline, puis s’introduit dans l’organisme, atteint le cerveau et modifie nos comportements alimentaires. » Si tu as souvent la sensation de ne pas pouvoir vivre sans pâtes, si le pain te manque à chaque repas et si tu souffres de fringales chroniques qui te poussent toujours vers des biscuits ou des viennoiseries, tu es probablement un drogué du blé… (#aouch ! dis comme ça … )
Idée n°5 – Se déconditionner pour réapprendre à manger
Nous avons appris à associer plaisir et mal-bouffe. Il est temps de ré-apprendre à manger en ré-éduquant nos papilles pour recréer de bonnes habitudes alimentaires. « Quelque soit votre problème de santé, et même si vous n’en avez pas, je vous engage fortement à faire l’essai d’une alimentation sans gluten pendant au moins trois mois. Vous risquez d’être très surpris par le bénéfice obtenu qui, peut-être, se manifestera uniquement par un mieux-être général, plus d’énergie, moins de stress ou une meilleure humeur. Si l’alimentation sans gluten ne vous confère aucun bénéfice au bout de plusieurs mois alors … Continuez ! »
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